"Cette « mise en tourisme » orchestrée par les politiques néolibérales de villes obnubilées par l'attraction de capitaux et de groupes sociaux favorisés, est aggravée par deux phénomènes : la « airbnbisation » du logement, et la « greentrification », qui se produit lorsque les urbains des grands centres-villes [...] fuient loyers démesurés, canicules et pandémie pour rejoindre des villes plus modestes."