Depuis leur invention au début de la PAO jusqu’à aujourd'hui, je montre que les templates sont l’incarnation matérielle d’une tension paradoxale constante entre la volonté d’outiller et d’émanciper les non-graphistes d'un coté ; et la volonté de contrôler et de normaliser leurs productions de l'autre (2/3)
mon article fait écho à celui de Julie Blanc sur le CSS et la manière dont il renoue avec une certaine idée de la mise en page. Je vous le recommande chaudement (https://journal.dampress.org/issues/systemes-logiques-graphies-materialites/si-jan-tschichold-avait-connu-les-feuilles-de-style-en-cascade-plaidoyer-pour-une-mise-en-page-comme-programme) et remercie les deux éditeurs VictorGuegan et Kim Sacks d’avoir permis à ces recherches d’éclore (3/3)